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Depuis des années, les glucides ont été pointés du doigt comme les grands responsables de la prise de poids. Plusieurs régimes populaires — keto, low-carb, Atkins — ont contribué à cette perception. Pourtant, ce n’est pas le glucide lui-même le problème, mais le contexte dans lequel il est consommé.
Lorsqu’on veut perdre du poids, réduire les glucides peut créer un déficit calorique (moins d’énergie consommée), d’où une perte de poids à court terme. Mais cela ne veut pas dire que les glucides sont mauvais. En réalité, ils sont indispensables à la performance, à la récupération et au bon fonctionnement du cerveau.
Les glucides sont la principale source d’énergie rapide pour ton corps.
Lors d’un effort physique, ton organisme transforme le glycogène (la forme stockée des glucides dans tes muscles et ton foie) en glucose pour alimenter tes contractions musculaires.
👉 Sans glucides, ton corps se fatigue plus vite, ta concentration diminue, et tu récupères moins bien.
C’est comme essayer de faire un entraînement intense avec le réservoir à moitié vide : ça fonctionne un temps, mais tu ne performes pas à ton plein potentiel.
Maintenir une intensité d’entraînement plus élevée
Retarder la fatigue musculaire
Favoriser la récupération post-entraînement
Préserver la masse musculaire
Stabiliser l’humeur et la concentration
Tout est une question de timing et de quantité adaptée à ton niveau d’activité.
Voici comment répartir intelligemment ta consommation selon le type de journée :

💡 Rappel : 1 g de glucide = 4 kcal. Les besoins varient selon ton poids, ton volume d’entraînement et ton objectif.
Tous les glucides ne sont pas égaux.
Certains sont absorbés très rapidement (glucides simples, comme le sucre blanc, les jus, les pâtisseries) et provoquent une forte hausse du glucose sanguin suivie d’une chute rapide : c’est ce qu’on appelle le “crash énergétique”.
Fatigue soudaine après un repas
Ballonnements, gaz ou inconfort digestif
Chutes d’énergie ou fringales fréquentes
Difficulté à se concentrer
Pic d’irritabilité ou sautes d’humeur
Ces signes indiquent souvent une intolérance au sucre rapide, une sensibilité à l’insuline, ou simplement un déséquilibre entre le type et le moment de consommation.
Sensibilité à l’insuline : certaines personnes régulent moins bien leur glycémie, souvent à cause d’un mode de vie sédentaire, du stress chronique ou d’un manque de sommeil.
Microbiote intestinal perturbé : un intestin déséquilibré peut mal digérer certains glucides (notamment les FODMAPs).
Qualité des glucides : les aliments ultra-transformés contiennent souvent du sucre ajouté et peu de fibres, ce qui aggrave les fluctuations énergétiques.
Choisir des glucides complexes : riz brun, avoine, quinoa, patates douces, légumineuses, fruits entiers.
Toujours les associer à des protéines ou des gras : cela ralentit l’absorption et stabilise la glycémie.
Observer tes réactions : si un aliment te donne un “coup de barre”, note-le et essaie une autre source de glucides.
Tester ton timing : certains tolèrent mieux les glucides avant ou pendant l’effort, d’autres après.
Garder un bon sommeil et un stress géré : deux éléments qui influencent directement ta sensibilité aux glucides.
Voici des repères généraux issus de la littérature sportive (ACSM, 2016 ; Burke et al., 2017) :
Repos ou activité légère3–5 g/kg
Entraînement modéré (1 h/jour)5–7 g/kg
Entraînement intense (1–3 h/jour)6–10 g/kg
Entraînement très long ou compétition (>4 h/jour)8–12 g/kg
Exemple concret pour un athlète de 75 kg :
Entraînement modéré : 375–525 g de glucides / jour
Entraînement long : 600–750 g / jour
Oui, c’est beaucoup plus que ce que la plupart des gens consomment — et c’est nécessaire si tu veux performer.
Quand on coupe les glucides, on perd d’abord beaucoup d’eau, car chaque gramme de glycogène retient environ 3 g d’eau.
Résultat : la balance descend vite… mais c’est temporaire.
Sur le long terme, un régime trop pauvre en glucides :
Diminue ton niveau d’énergie
Réduit ta capacité à t’entraîner fort
Affecte la récupération musculaire
Peut même déséquilibrer tes hormones
Si ton objectif est la composition corporelle, il vaut mieux ajuster le total calorique et la qualité des aliments plutôt que de bannir les glucides.
Les glucides ne sont ni tes ennemis, ni un luxe :
ils sont ton carburant principal pour performer, récupérer et progresser.
La clé, c’est d’apprendre à les consommer au bon moment, dans la bonne forme et en quantité adaptée à ton niveau d’activité.
Pas assez de glucides = baisse de performance.
Trop de glucides au mauvais moment = stockage inutile.
Mauvaise qualité de glucides = énergie instable et digestion difficile.
Le bon équilibre = énergie, progression et récupération optimale.
Nos coachs observent souvent que les membres qui mangent trop peu de glucides — ou de mauvaise qualité — stagnent ou manquent d’énergie dans leurs entraînements.
À l’inverse, ceux qui ajustent le type, le moment et la quantité de leurs glucides remarquent une meilleure intensité, une récupération plus rapide et une concentration accrue.
Discutez de vos objectifs avec un de nos coachs, mettez en place le programme pour les atteindre !